A mi-chemin…
Ca fait 4,5 semaines que j’ai commencé ma formation au Wagon (voir mon article I’m a Wagoner! pour suivre l’histoire depuis le début). Quatre semaines et demi, un gros mois, ça ne semble pas grand chose. Et pourtant, au Wagon, c’est énorme!
J’ai déjà appris à maitriser Ruby (j’ai dit « appris à le maîtriser » et non pas « maîtrisé », il va me falloir encore un peu de pratique, mais les bases sont là!), à communiquer avec une base de données, j’ai revu et amélioré mes connaissances en HTML et CSS (ce qu’on appelle le « front-end », c’est-à-dire ce qui vous permet de voir un site. Ruby étant en opposition un langage « back-end », c’est-à-dire qu’il permet de faire fonctionner le site dans les coulisses). Mais j’ai surtout appris à sortir de ma zone de confort et faire appel aux connaissances des autres pour éclairer ma lanterne.
Au Wagon, on passe la moitié de la matinée à suivre un cours. Puis on consacre sa journée à réaliser les exercices pendant lesquels on applique les bases apprises le matin. Pour s’aider, on a un « buddy » – un autre Wagoner défini de manière aléatoire par un petit système mis en place – qui a peut-être retenu d’autres choses du cours ou qui a mieux compris les consignes de l’exercice. On est toujours plus fort à deux, c’est un peu le slogan du programme. Puis on termine la journée par un live code (un exercice projeté sur l’écran qu’on réalise tous ensemble). Les journées sont intenses, c’est certain. Mais c’est bien pensé. En plus d’apprendre la technique, on découvre le travail en équipe avec des personnes qui nous ont été imposées, on voit l’ambiance entre wagoners devenir de plus en plus sympa et on réalise que sortir de sa zone de confiance met la confiance en soi à mal avant de la rebooster.
Je me suis inscrite pour apprendre Ruby mais le Wagon m’apprend bien plus de choses sur moi et sur les autres.
J’en penserai quoi dans 4,5 semaines?
Répondre